DE BATZ DE TRENQUELLÉON. LOT-ET-GARONNE. GERS. 2 Lettres du - Lot 115

DE BATZ DE TRENQUELLÉON. LOT-ET-GARONNE. GERS. 2 Lettres du Charles de BATZ, chevalier, seigneur baron de Trenquelléon , seigneur du Guay et de Saint-Julien, né en 1712 (Le Château de TRENQUELLÉON, a été construit à FEUQUEROLLES, dans le Lot-et-Garonne) - Lettre autographe signée « Le Chevalier de BATZ » à Nérac , (Gers) 10 janvier 1782, adressée à Mr De BAZIGNAN Commandeur de l’Ordre de Saint Lazare, à AGEN (Lot-et-Garonne) : « Je reçois toujours avec un nouveau plaisir, mon Cher Commandeur, les marques de votre souvenir et de votre amitié dont je fais le plus grand cas…. Ma maudite goute me force à ne sortir presque pas de ma ville et de ma campagne. Mon attaque a été si forte il y a deux ans que je comptais votre serviteur parti pour la gloire… J’avais ignoré que vous usiez été malade. Je n’aurais pas négligé de m’en informer et tâcher par mes amis (médecin) de Montpellier d’y remédier… Je vous remercie du parti que vous me proposez. Mon neveu ayant 5 légitimes à payer, il lui faut plus que ce que vous me proposez et je ne crois pas qu’il puisse trouver ce qu’il lui faut en province. Nous avons un marin malade à Baltimore… j’ai grand peur pour lui sans secours après avoir tout perdu sur le vaisseau où il était qui fut brûlé. Son état ne doit pas être agréable. Que faire à çà, il est entre les mains de la providence. Jusqu’à présent, il ne nous a donné que des chagrins… Je vous plains portant d’avoir un cahot d’affaires. Je sais qu’il vous en faut pour votre santé. Ménagez-vous et pensez, mon Cher Monsieur, que le Commandeur de BASIGNAN n’est pas un enfant et qu’il faut le ménager pour ses amis. Je vous demande d’être toujours de ce nombre ayant bien sincèrement honneur d’être. » 4 pages in-8° + Lettre A.S. du Chevalier de BATZ, de NÉRAC (Gers) le 3 Février 1780. 2 pages in-8° : « Monsieur. J’avais cru ne pas vous donner tant de peine en vous priant de vouloir accélérer l’établissement de ma nièce avec Mr de BOUZET mais de moi ou la lettre de mon frère un jeu de mots et on un discours solide que vous et moi aimons, je lui avait écrit que le meilleur de mes amis allait agir pour me faire plaisir et avec qui il fallait parler et non battre la campagne… »